L´air Marin est caractérisé par sa pureté et ses Ions Négatifs

L’air marin se caractérise en premier lieu par la quasi-absence de germes. La quantité de germes par mètre cube augmente très rapidement au fur et à mesure qu’on s’éloigne du bord de mer. Si sur un point de la côte on trouve 150 germes par mètre cube en bordure de mer, ce nombre sera au moins trois fois plus important à cent mètres de la côte. Un chiffre qui semble encore bien faible comparé aux 50 000 germes par mètre cube d’air qu’on compte dans la capitale (voire 80 000 dans certaines artères) !
C’est pourquoi les centres de thalassothérapie s’établissent au bord même de la mer, où règne un microclimat qu’on ne peut trouver nulle part ailleurs.
L’air marin stimule la capacité respiratoire, excite les terminaisons nerveuses de la peau, facilite le travail du cœur, la digestion et l’assimilation, et apaise le système nerveux. Une cure de thalassothérapie réussie ne se limite pas aux soins et au repos, mais laisse également une large place à la marche au grand air. Manche et Atlantique attireront particulièrement les curistes qui recherchent les bienfaits de l’iode.
On sait que les ions négatifs sont très riches en oligo-éléments, nécessaires au bon équilibre de l’organisme. Or ces ions négatifs sont créés par le bombardement cosmique des particules de l’atmosphère, bombardement qui est plus intense dans certains milieux naturels. C’est le cas, par exemple, des pinèdes, du fait du frottement des aiguilles les unes contre les autres.
De la même façon, l’agitation permanente de l’eau de mer et la présence de minuscules gouttelettes (les embruns) enrichit l’atmosphère en ions négatifs : on en trouve environ 4 000 par centimètre cube, contre 20 dans une pièce fermée et polluée. La pollution est l’ennemie des ions négatifs, ce qui explique en grande partie la fatigue fréquemment ressentie dans les grandes villes.
 Voir l´air Marin et son action bénéfique sur le système cardio-respiratoire