Ne mangeons pas trop gras, trop sucré, trop salé !
Ce célèbre slogan semble oublié pendant la période des fêtes, et pourtant un menu plaisir peut se construire tout en modération avec l’usage judicieux de quelques épices ou herbes.
Comment diminuer les quantités d’assaisonnement ?
L’antidote du sel : les herbes aromatiques ou les épices rafraîchissantes.
Le sel fortement présent en début de repas (comme dans les mélanges apéritifs) attise notre appétit et risque d’augmenter notre consommation.
Dans les entrées et bouchées apéritives ajouter du persil, basilic, menthe, ciboulette, de la coriandre fraîche ou moulue, du fenouil, de l’anis…
L’antidote du sucre : les épices piquantes ou chauffantes.
La saveur douce suffit depuis notre enfance à nous réconforter et nous rassasier, mais sucres raffinés divers peuvent à l’excès nous amener aussi à la dépendance et l’embonpoint. L’objectif est juste de diminuer leur apport. Les épices en association du sucré permettent de rehausser les saveurs, de diminuer voir supprimer le sucre à ajouter.
Alors dans les desserts ajouter du piment d’Espelette, du poivre, de la cannelle ou du gingembre…
Et le gras : Il permet de mieux retenir les flaveurs en bouche, alors ne le sacrifions pas à ces menus d’exception, il faudra juste prévoir les jours suivants des repas tout vapeur et un bon tonique pour notre foie chargé de métaboliser toutes ces graisses avec une petite cure de boldo, chardon-marie, aloès ou pissenlit…
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